Visite à l'école ouzbèk
Les écoles ouzbèks sont différentes des écoles françaises.
Ainsi dans les écoles ouzbèks les cours commencent à 9h00 et finissent à 14h00
tandis que dans les écoles françaises les cours commencent à 8h30 et finissent
à 16h30. De même dans les écoles ouzbèks les cours durent 45minutes alors que
dans les écoles françaises quelques fois les cours durent 45minutes mais aussi
parfois 1h20,1h30 ou 1h45.
A l’école ouzbèk les récréations durent 2 minutes entre chaque court et les grandes récréations durent 15minutes, mais dans les écoles françaises les récréations durent 15 minutes et la grande récréation de midi dure 1h15minutes
Dans les écoles ouzbèks pour chaque cours il y a deux
cahiers et après chaque cours les professeurs reprend le cahier où les élèves ont écrit leurs
devoirs. Dans les écoles ouzbèks les
agendas sont différent des agendas français, les élèves ouzbeks y écrivent leur
emplois du temps et aussi les devoirs à faire à la maison et leurs notes pour
chaque matière. Les élèves français, eux, n’écrivent que les devoirs à la
maison.
Ce qui est rigolo c’est que dans les écoles ouzbèks il y a une table pour deux élèves, ils se mettent une fille et un garçon pour qu’ils ne parlent pas entre eux. Ce qui ne me plais pas que dans les écoles ouzbèks c’est que les enfants mettent des uniformes alors que dans les écoles françaises les enfants mettent ce qu’ils veulent.
Un samedi
matin avant les vacances de Noël les professeurs de primaire : Ghairat,
Marion, Francis et Aurélie sont allés visiter l’école 162 qui se situe à
Chilanzar où ils apprennent le français comme nous, nous apprenons l’anglais. Ils
ont rencontré deux professeurs de français et la directrice. Ils sont allés visiter
quelques classe de CE1 et CM2.
Ce
qu’ils ont remarqué le plus c’est que c’est une grande école avec beaucoup
d’élèves dans les classes et des professeurs très motivés.
Ils
ont essayé de savoir ce qu’ils pourraient faire ensemble et il a été décidé que
deux groupes d’élèves ouzbeks viendraient à l’école française. L’intérêt pour
l’école ouzbek est de rencontrer les élèves qui parlent couramment le français,
et pour les élèves « français » de rencontrer d’autres enfants et de
sortir du contexte scolaire français.
Mais ce qui les a le plus marqué reste le sourire des enfants.